Points chauds discutés par la CCPPC

Onze points chauds ont été discutés parmi les membres qui participent à la quatrième session du Comité national de la CCPPC :
Mise en valeur l'Ouest de la Chine pour approfondir la réforme des entreprises d'Etat ;
Perfectionnement dusystème d'assurances sociales ;
Renforcement de la protection de l'environnement et des ressources naturelles du pays ;
Remise en l'ordre du marché et normalisation ;
Renforcement de la position fondamentale de l'agriculture afin de permettre aux paysans d'augmenter leur revenu et d'alléger leurs fardeaux ;
Maintien de l'ordre public et durs coups aux forces clandestines et mafieuses ;
Équité et probité et lutte contre la corruption ;
Réajustement de la structure industrielle ;
Candidature aux jeux Olympiques
Entrée à l'OMC

Propositions des membres de la CCPPC (1)

Zhu Peikang : Il faut aussi avoir recours à des personnels qualifiés aux échelons inférieurs pour développer l'éducation primaire et secondaire. Selon les conditions locales, il faut former des hommes ordinaires de haute qualité. Selon la situation concrète de la campagne, il faut mettre l'accent sur le développement de l'éducation professionnelle et secondaire.

Lai Gaozhun : Après avoir appliqué la stratégie de mise en valeur de l'Ouest de la Chine, certaines localités réalisent des projets à l'aveuglette. Souvent, il y double emploi dans les mêmes projets.

Cai Ruixian : L'exploitation des ressources énergétiques a la priorité dans la mise en valeur de l'Ouest du pays. Grâce à la répartition et la coordination des générateurs au gaz naturel ou à vapeur, le taux de production actuelle de l'électricité a atteint près de 60 %, mais le taux de production moyenne de l'électricité de ce genre est de 30 % dans l'ensemble du pays. Un gazoduc transporte la gaz naturel de l'Ouest vers l'Est du pays, il faut s'appuyer sur le progrès scientifique et technique pour élever la capacité des laboratoires afin de perfectionner les générateurs au gaz naturel et d'élever leur taux de production d'électricité. Au cours de la mise en valeur de l'Ouest, nous devons porter aussi une grande attention à la protection de l'environnement dans l'ensemble du pays.

Wang Dong : Le contrôle de la pollution atmosphérique doit mettre l'accent sur l'aménagement urbain et les changements météorologiques. À Beijing, il y a 150-200 jours où la vélocité du vent est au-dessous de deux m/s par an, ce qui ne favorise pas la prolifération des matières polluantes. Je propose que département intéressé veille à réduire la pollution atmosphérique dans l'édification urbaine.

Wei Yunlong : La protection de l'environnement de la région du réservoir des Trois Gorges du Yangtsé doit être intégrée au projet d'aménagement des trois rivières (Huaihe Haihe et Liaohe), des trois lacs (Taihu, Chaohu et Dianchi) et d'une ville (Beijing). Il faut utiliser des méthodes de marché pour éradiquer la conduite illégale de certains exploitants dans l'évacuation des eaux usées.

Zheng Jiachun : Actuellement, certains fonctionnaires n'ont pas changé leur ancienne mentalité et leur efficacité de travail est très basse.

Li Wuwei : Pour entrer à l'OMC, nous devons régler les trois questions suivantes: 1. Il faut accélérer le réajustement de la structure économique et la structure de l'économie nationale. 2. Il faut accélérer l'édification des mécanismes d'innovation ; 3. Il faut renforcer la coopération des fonds régionaux.

Huang Ronghui : Dans les années 50, lorsque je suis arrivé à Beijing, j'y ai vu partout des espaces verts, des rizières et des champs de blé. Aujourd'hui, le béton et les arbres les remplacent. Faute d'eau, la plantation des herbes est plus difficile que celle du riz. J'espère que le progrès scientifique et technique permettra de reverdir pour saluer les Jeux olympiques.

Wang Zhixin : Actuellement, la réforme du système de l'éducation scientifique et technique n'est pas idéale et l'environnement de recherche n'est pas bon. Il manque d'investissements à long terme pour l'éducation scientifique et technique et la formation des hommes qualifiés s'effectue de façon intermittente. Ce n'est pas un manque d'hommes de talent, mais leur qualité n'est pas suffisante. Le développement des sciences et techniques souffre d'un manque de plan d'ensemble et d'investissements. Ainsi, le ministère des Sciences et Techniques doit accorder une attention particulière aux réformes du système et du plan scientifique et technique. Il faut élaborer un plan d'ensemble dans les investissements et la production de tous les secteurs scientifiques et techniques.