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Société
La souveraineté chinoise sur les Iles Diaoyu ne saurait faire de doute

 

 

Les faits historiques et le droit international font de l'appartenance des Iles Diaoyu à la Chine une vérité incontestable, et ces îles n'ont aucun statut historique de terra nullius (territoire ne relevant d'aucun Etat).

Les pêcheurs chinois récoltent des herbes sur ces îles et pêchent dans les eaux alentour depuis des générations.

Aussi tôt que la Dynastie des Ming (1368-1644), les Iles Diaoyu ont été clairement incluses dans le territoire et le secteur de défense maritime de la Chine, et la souveraineté de la Chine sur les îles était reconnue par le Japon, qui utilisait d'ailleurs des noms chinois pour identifier la zone, et ce jusqu'à l'époque moderne.

Avant le milieu du 19e siècle, diverses cartes publiées au Japon utilisaient également la même couleur pour marquer la Chine et les Iles Diaoyu.

A la même époque, des documents y relatifs et des cartes anglaises, françaises, américaines etr espagnoles montraient aussi les Iles Diaoyu comme appartenant à la Chine.

Exemple notable, une carte établie par la Royal Navy britannique en 1877 – Côtes Est de la Chine : Hong Kong jusqu'au Golfe du Liaodong- qui désignait les Iles Diaoyu comme des îles annexes de l'Ile de Taiwan, et les séparait des îles du Japon. Plus tard, cette carte sera utilisée comme référence lors de la signature du Traité de Shimonoseki.

En janvier 1895, trois mois avant la signatire de ce traité entre le Japon et la Chine, après que cette dernière eût été défaite lors de la guerre sino-japonaise de 1894-95, le Japon prit possession de manière illégale des Iles Diaoyu et les inclut dans la Préfecture d'Okinawa. On ne peut nier également que les Iles Diaoyu aient été cédées au Japon en tant qu'îles annexes de Taiwan après que le traité ait été signé.

Cependant, en décembre 1943, les dirigeants des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne et de la Chine signèrent la Déclaration du Caire, déclarant que tous les territoires que le Japon avait pris à la Chine devaient lui être rendus. Et la Déclaration de Potsdam signée par la Chine, les Etats-Unis et le Grande-Bretagne en juillet 1945 (puis ensuite par l'Union Soviétique) a disposé que « les termes de la Déclaration du Caire devront être respectés ».

En août 1945, le Japon accepta la Déclaration de Potsdam et capitula sans conditions, ce qui eut entre autres conséquences l'entrée en vigueur des deux documents.

Après la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la Chine reprit possession de ses territoires dérobés par le Japon, dont l'Ile de Taiwan et ses îles annexes. Et par conséquent, en tant que partie des Iles de Taiwan, les Iles Diaoyu, en vertu du droit international, furent aussi rendues à la Chine.

Cependant, en septembre 1951, le Japon signa le Traité de paix de San Francisco avec les Etats-Unis et les autres puissances alliées, et donna unilatéralement les Iles Diaoyu, en même temps qu'Okinawa, à l'administration américaine.

En réponse, Zhou Enlai, alors Premier Ministre et Ministre des Affaires Etrangères de la Chine, déclara avec sévérité que le Traité de San Francisco, signé sans la participation de la République Populaire de Chine, était illégal et illégitime.

Enfin, en juin 1971, Washington et Tokyo signèrent l'« Accord de Restitution d'Okinawa », offrant les « droits administratifs » sur les Iles Diaoyu au Japon.

En réponse, le Ministère chinois des Affaires Etrangères publia un communiqué en décembre de cette même année, selon lequel « L'accord est une violation flagrante de la souveraineté territoriale de la Chine, intolérable aux yeux du peuple chinois. L'inscription, par les Etats-Unis et le Japon, des Iles Diaoyu et d'autres îles dans l'accord de ‘restitution de zones' est totalement illégal. Cela ne saurait en aucune manière changer les droits de souveraineté de la République Populaire de Chine sur ces îles ».

Le gouvernement américain, par la suite, a constamment proclamé que la décision de Washington de rendre les « droits administratifs » d'Okinawa au Japon n'avait pas la moindre influence sur le conflit portant sur la souveraineté des Iles Diaoyu, espérant ainsi que Beijing et Tokyo résoudraient le problème par la consultation et la négociation.

Le gouvernement japonais persistant à occuper de manière illégale Diaoyu et ses iles avoisinantes, le gouvernement chinois n'a pour sa part pas cessé de lutter avec détermination pour ses droits de souveraineté sur ce territoire.

Par le biais de négociations diplomatiques répétées et de conférences de presse du Ministère des Affaires Etrangères, Beijing a rendu clair sa position de principe sur le sujet.

En février 1992, la Chine a publié la Loi de la République Populaire de Chine concernant les Eaux Territoriales et la Zone contiguë, qui a proclamé de manière claire les Iles Diaoyu comme étant un territoire chinois. La dénégation de cette souveraineté par le gouvernement japonais est une atteinte tant à l'histoire des hommes qu'aux faits matériels. Source: le Quotidien du Peuple en ligne

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