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Carrefour : 100 000 euros d’investissement dans la formation des compétences

Carrefour Chine et la China Europe International Business School (CEIBS) ont signé un accord de coopération selon lequel Carrefour donnera 100 000 euros durant les trois prochaines années à la CEIBS en vue de soutenir son développement. D'après cet accord, Carrefour deviendra membre de la Commission des conseillers de la CEIBS et participera au développement éducatif et stratégique de l'école. Le groupe Carrefour pourra choisir en priorité ses stagiaires parmi des étudiants de M.B.A. (mastère de gestion), organiser des consultations en groupe, recruter en priorité des étudiants de M.B.A., prononcer des discours comme conférencier principal au Forum des gestionnaires de la CEIBS, participer aux projets de recherche et d'industrie et avoir accès en priorité à des ressources du Centre de recherche de l'école. M. Jean-Luc Chéreau, président de Carrefour Chine, a indiqué que le succès de Carrefour en Chine est le fruit de l'application de son expérience avancée de gestion internationale au marché local. Le groupe Carrefour se consacre au développement des gestionnaires, et plus particulièrement à la formation de compétences de haut niveau.----------------------------------------------------------- (Quotidien du peuple)

Premier concours Pont de la langue chinoise pour les étudiants de chinois en Suisse

La première édition du concours Pont de la langue chinoise pour les étudiants de chinois en Suisse a eu lieu à l'ambassade de Chine dans ce pays. Cette épreuve était en même temps la sélection nationale pour la cinquième édition de ce concours sur le plan mondial.

Pendant ce concours de plus de deux heures, six étudiants provenant de l'université de Zurich, de l'université de Genève et de la Haute École spécialisée de la Suisse du Nord-Ouest ont montré leur talent. L'épreuve comportait trois volets : déclamation, test de connaissances générales et démonstration de talents artistiques. Au terme d'une compétition acharnée, M. Jiang Kaidao, qui étudie la littérature chinoise à Zurich, et Mlle Wu Yali, qui apprend le chinois à la même université, ont obtenu respectivement les premier et deuxième prix. Ils se qualifiaient ainsi comme finalistes pour le concours à Beijing. Lors de la remise des prix, M. Zhu Bangguo, ambassadeur de Chine en Suisse, a déclaré aux lauréats que la Suisse est l’un des premiers pays européens à avoir introduit la langue chinoise dans les programmes de cours de ses établissements scolaires. Aujourd'hui, le chinois y est enseigné non seulement dans les universités, mais aussi dans les écoles secondaires et primaires. Il a émis l'espoir qu'avec la diffusion croissante du Pont de la langue chinoise, le niveau des étudiants et l'enseignement du chinois en Suisse s'amélioreront d'année en année. Le concours mondial des étudiants de chinois Pont de la langue chinoise en est à sa cinquième édition. C'est la première fois que des éliminatoires ont lieu en Suisse.---------------------------- (Quotidien du peuple)

La ville de Tianjin disposée à réaliser des projets de coopération avec la France

La ville portuaire de Tianjin, en Chine du Nord, est disposée à lancer des projets de coopération avec la France, a annoncé le maire de la ville, M. Dai Xianglong, lors de sa rencontre à Tianjin avec la ministre déléguée au Commerce extérieur de la France, Mme Christine Lagarde. M. Dai a indiqué que la municipalité déploierait des efforts pour promouvoir la coopération dans tous les domaines avec ce pays afin que Tianjin devienne la ville chinoise la plus dynamique en matière d'échanges culturels et de coopération économique avec la France. De son côté, Mme Lagarde a déclaré que la France continuerait d’encourager les compagnies françaises à participer à la construction du port et à la restauration et protection de vieux immeubles de style français dans cette ville. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------(Xinhua)

Le groupe Hachette lancera en novembre la revue trimestrielle Chine

Cette revue trimestrielle en français, éditée par le célèbre groupe Hachette, sera publiée officiellement en novembre. C'est la première revue du genre dans les pays occidentaux. Déjà en 1988, le groupe Hachette avait introduit en Chine la revue de mode Elle et était ainsi devenu le premier éditeur occidental à pénétrer le marché de l'édition chinoise. Cette fois-ci, tablant sur les expériences qu'il a accumulées au cours de ses 18 ans de coédition en Chine, le groupe Hachette a financé la publication de Chine, revue composée principalement de deux parties : économie et société; et, culture et tourisme. L’agence Chinanews est le partenaire chinois chargé de fournir des textes et des photos à cette revue de 120 pages. Le prix de vente sera de 5 euros, et le tirage, de 40 000 exemplaires. Au cours de la cérémonie de lancement, le P.-D.G. du groupe Hachette a déclaré que des changements considérables étaient en train de s'opérer en Chine, un pays de 1,3 milliard d'habitants, et que la publication de cette revue était motivée par le désir de faire connaître ces changements. Chine s'efforcera de présenter les problèmes causés par ces changements et la manière chinoise de les résoudre. Dans son allocution, M. Shi Feng, vice-président du Bureau de la presse et de l'édition du gouvernement chinois, s'est félicité de la création de cette revue et a exprimé le souhait que la coopération entre les milieux chinois de l'édition et le groupe Hachette continue de se développer. M. Zhao Jinjun, ambassadeur de Chine en France, était présent à la cérémonie de lancement, et a formulé le souhait que le lancement de cette revue contribue au développement des relations sino-françaises.-------------- (China.org.cn)

Signes d'existence était à Beijing!

L’exposition photographique et audiovisuelle Signes d'existence, présentée en juin au musée de l'Académie centrale des Beaux-Arts de Beijing, a fait connaître les regards de photographes et vidéastes contemporains français et chinois. Le public a pu découvrir les travaux de Georges Rousse, Huang Ya, Chenman & Zhangdan, Pierre Faure, Stéphane Couturier, Miao Xiaochun, Bruno Serralongue, Chi Peng, Wang Chuan, Valérie Belin, Valérie Jouve, Shaoyiong & Muchen, Kader Attia et Nicolas Moulin. Ces artistes ont été sélectionnés par les commissaires Ma Gang et Régis Durand; ce dernier est directeur du musée parisien du Jeu de paume, ce musée étant consacré à la photographie et à l'image contemporaines.

Tous ces artistes ont en commun la volonté de s'interroger sur la nature de l'image. D'un côté, la capacité d’une telle image à enregistrer la trace effective d'une présence humaine, du moins en apparence. Et, de l'autre côté, l'irréductibilité du « monde réel » à ce procédé de reproduction, qui ne restitue jamais qu'indirectement la réalité et constitue avant tout l'expression d'une subjectivité

Interrogé à la sortie du musée, un visiteur, lui-même reporter photographe, s'est déclaré satisfait de la qualité d’ensemble, ajoutant qu'il avait trouvé les œuvres des artistes français bien plus variées et ouvertes que celles des artistes chinois.

Il est à noter que cette exposition fait partie des Dialogues d'images, ce nouveau programme d'échanges culturels initié en 2005 par l'Association française d'action artistique (A.F.A.A.), sous l'égide du ministère français de laCulture.--------------------------------------------------------------------------------------- (China.org.cn)


Un sénateur belge prône l'enseignement du chinois

Le sénateur belge Alain Destexhe a proposé de créer l'option scolaire langue chinoise comme troisième langue. Il a suggéré que cela soit fait dans une école par province wallonne, ainsi qu’à Bruxelles. Le sénateur a déposé une proposition de résolution en ce sens au Parlement wallon. « Il y a un très fort engouement dans le monde pour le chinois. Il faut fixer un cadre légal pour son enseignement, rattraper le retard et favoriser son enseignement », a déclaré M. Destexhe. Le sénateur déplore la faiblesse de l'offre de l'enseignement du chinois dans les écoles de la Communauté wallone de Belgique, alors que les pays européens comme la France ou la Grande-Bretagne ont déjà pris des initiatives prometteuses. « La Chine prend une ampleur économique considérable et connaître le chinois devient un atout non négligeable», a encore ajouté le sénateur libéral.--------------------------------- (Xinhua)

Une compagnie française établit son centre de R&D à Beijing

La compagnie française 6WIND a inauguré récemment son centre de R&D à Beijing, en vue de renforcer ses opérations en Chine. L'effectif à Beijing de ce fournisseur de logiciels d'administration de réseaux IP passera de 6 à 25 personnes avant la fin de cette année. « Le centre a pour but d'accélérer la vitesse de livraison de nos produits à la clientèle locale », a indiqué M. Alain Dasté, P.-D.G. de 6WIND. « À l'aide de nos logiciels, les clients ici peuvent développer plus rapidement leurs équipements réseau et leurs systèmes », a-t-il ajouté. Il a aussi attribué le lancement du centre à Beijing aux débouchés apportés par le développement de la technologie IPv6 en Chine. Cette technologie est la sixième et dernière version du protocole Internet (IP) sur lequel est basé le réseau Internet. Le IPv6 intègre le réseau sans fil et celui des téléphones mobiles. « Il connaît une véritable poussée, en particulier en Asie et en Chine », a indiqué M. Jesse Zhang, directeur de 6WIND en Chine. De concert avec les opérateurs de télécoms, ce pays a mis en place CERNET 1 et 2 (China Education and Research Network), deux réseaux basés sur le IPv6. En mai 2005, le ministère chinois de l'Industrie et de l'Information et le ministère français de l'Industrie ont signé un accord de coopération sur l’IPv6. 6WIND peut aider les consommateurs chinois à effectuer la transition du IPv4 au IPv6. Le centre R&D de Beijing s'engage à coopérer étroitement avec les consommateurs et les établissements locaux de recherche, comme ceux de l'Académie des sciences et des universités. --(China.org)

Alstom établira sa base mondiale de production en Chine

En établissant une base de production mondiale en Chine, le groupe français de transport et d'énergie Alstom entend multiplier ses activités en Chine dans les centrales thermiques et la protection environnementale. « L'établissement de cette base en Chine est la seule manière de prendre part à la compétition mondiale », a fait observer M. Philippe Joubert, président de la division électricité d'Alstom. Le responsable des opérations d'Alstom Chine, M. Alain Berger, a indiqué qu'Alstom se trouvait dans la seconde phase d'exploration du marché chinois, et que le groupe établissait des bases de production locales avant d'en créer d'autres à Beijing. Ces dernières seraient orientées vers l'exportation. Alstom Beizhong Power (Beijing) est la base industrielle la plus importante du groupe français et la première dans le domaine des centrales thermiques, a poursuivi M. Berger. La société française Alstom compte également établir en Chine son centre de production mondiale de générateurs, et elle négocie avec des partenaires chinois sur de nouveaux projets de centrales thermiques et de protection environnementale. Selon M. Berger, les commandes venant de la Chine ont totalisé 15 milliards de yuans (1,9 milliard $US) pour la période 2004-2005, soit 10 % du total annuel mondial des commandes reçues par Alstom pendant cette période. Alstom occupe 24 % du marché des équipements hydroélectriques en Chine et 50 % du marché des équipements de centrales nucléaires. Néanmoins, quant au marché des centrales thermiques, ce chef de file mondial n’en occupe qu' environ 10 %.----------------------------------------------------------------------------------- (Xinhuanet)

Lacoste poursuit le marché Xiushui de Beijing

Lacoste, la célèbre marque française au crocodile poursuit devant les tribunaux le propriétaire du centre commercial Xiushui (rue de la Soie) de Beijing et certains de ses locataires. Ils sont accusés d'avoir vendu des t-shirts portant des étiquettes Lacoste contrefaites. La compagnie française La Chemise Lacoste a également demandé une compensation de 100 000 yuans (12 500 $US) de la part de chacun des accusés. Ce procès survient alors que les propriétaires des marchés au détail de Beijing, dont le centre commercial Xiushui, ont signé un protocole avec les marques de renommées européennes, promettant d'expulser les locataires qui violeraient les droits de propriété intellectuelle des marques de luxe européennes. Les sources proches de l’affaire ont indiqué que la Beijing Xiushui Haosen Clothing Company, propriétaire du centre commercial et certains de ses locataires ont été accusés d'infraction à la marque déposée Lacoste. Selon l'acte d'accusation porté par la marque française, Xiushui Haosen non seulement n’a pas stoppé ses locataires de vendre des produits Lacoste contrefaits, mais en connivence avec eux, a également fourni des locaux commerciaux. Lacoste ajoute qu'un certain nombre de locataires auraient vendu à bon marché de faux t-shirts Lacoste avec des logos de crocodile, et ce, depuis l'ouverture du centre en 2005. Lacoste a indiqué qu’en janvier la société avait envoyé une lettre à Xiushui Haosen, exigeant de la compagnie qu’elle fasse des excuses écrites et stoppe toutes les contrefaçons Lacoste; la lettre est toutefois restée sans réponse. À titre de marque déposée méritant protection spéciale, la marque déposée Lacoste a été enregistrée en 1999 et 2000 par l'Administration d'État pour l'industrie et le commerce de Chine. L’affaire est maintenant dans les mains du Tribunal populaire intermédiaire No2 de Beijing.---------------------- (Quotidien du peuple en ligne)

Jumelage entre Arles et Zhouzhuang

Au cours du Festival international du tourisme de Zhouzhuang, un mémorandum de coopération touristique a été signé entre le bourg de Zhouzhuang et la ville d'Arles. D’une part, Zhouzhuang, avec son histoire plus que millénaire, offre un paysage typique de la région du Sud du fleuve Yangtsé. Connu sous le nom de « bourg d'eau », Zhouzhuang présente un paysage pittoresque. Toutes les maisons ont été construites au bord de l'eau et ses habitants se fréquentent par canot, même si leurs domiciles sont très proches. D’autre part, située au sud de la France, Arles possède 130 monuments historiques, dont 30 ont été classés au patrimoine mondial de l'Unesco. Van Gogh séjourna dans cette ville en 1888 et 1889; il y peignit près de 300 toiles. Entre autres pour ces raisons, Arles a été surnommée « ville d'art et d'histoire ». Pour célébrer le jumelage de Zhouzhuang et Arles, les Arlésiens ont apporté leurs danses folkloriques au bourg de Zhouzhuang..-------------------------(Quotidien du Peuple en ligne)

Soixante et onze pour cent des investissements français en Chine sont effectués dans le delta du Yangtsé

Les investissements français en Chine se sont élevés à 700 millions $US, dont 500 millions ont été placés dans le delta du Yangtsé, en Chine de l’Est, ce qui représente 71 % du total, selon le service commercial du consulat général de France à Shanghai. Le delta du Yangtsé, l'une des régions les plus riches de Chine, comprend la ville de Shanghai, le sud de la province du Jiangsu (Chine de l’Est), le nord de la province du Zhejiang, ainsi que les zones maritimes entourant ces régions. Aux dires de M. Xavier Denis, attaché commercial de la mission économique de Shanghai à l'ambassade de France en Chine, ce pays dénombre au total 1 500 entreprises françaises, dont 470 sont rassemblées dans le delta du Yangtsé. Le montant de leurs investissements s'élève à 5 milliards $US. « Chaque année, le service commercial du consulat général de France à Shanghai reçoit en consultation un millier d'entreprises françaises souhaitant investir ou établir des bureaux de représentation dans le delta », a affirmé M. Denis, ajoutant que le delta du Yangtsé était devenu l’une des régions où les activités économiques et commerciales françaises sont les plus dynamiques.

Au début de la réforme et de l'ouverture, c'était la région du Sud – avec la province du Guangdong comme centre d’activité – qui attirait le plus d'investissements français. Cependant, à la fin des années 1990, les entreprises françaises ont commencé à investir dans le delta du Yangtsé. En 2000, le géant des télécommunications Alcatel a installé à Shanghai son Centre asiatique des techniques, et un grand nombre d'entreprises françaises, telles que Carrefour, Alstom et l'Oréal, ont ensuite afflué dans le delta du Yangtsé et investi dans les secteurs de l'énergie, de la chimie, des transports et de la vente au détail.

« Aux yeux de certains gens d'affaires français, Shanghai et ses régions avoisinantes constituent un lieu idéal pour les investissements et un grand nombre d'entrepreneurs français souhaitent y investir », a indiqué M. Denis. Pébéo, fabricant français de peintures pour les beaux-arts, a installé une usine à Kunshan, à quelque 50 km de Shanghai. « Il ne faut que 40 minutes pour transporter des marchandises de Kunshan à Shanghai », a déclaré Mme Ségolène de Marolles, directrice des relations publiques de Pébéo. Actuellement, les PME françaises jouent aussi un rôle important dans les échanges économiques et commerciaux entre la France et la Chine. -----------------(Xinhua)

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